Test de Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name un bon Yakuza mais…

Si vous avez déjà lu quelques lignes de ce blog, vous le savez déjà j’adore la saga des Yakuza ! Je me devais donc de vous offrir ce test copieux pour ce nouvel opus non numéroté et renommé « Like a Dragon ». Véritable suite ? Ou plus un Yakuza 6.5 ? C’est ce que nous allons vérifier dans ce test de Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name .

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Visuellement on est toujours sur PS4.5 – 15/20

Bien qu’assez joli, ce Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name pourrait très bien tourner sur PS4. Il n’empêche que le jeu est très beau et offre une belle diversité visuelle avec ses décors détaillés, ses effets de lumières incroyable et ses personnages expressifs à souhait, mis à en valeur lors des diverses cut-scene du jeu. A noter que les combat transpirent toujours austant la violence et le spectaculaire. Bref c’est un régal visuel.

Un gameplay toujours aussi bon mais des combats mal dosés – 15/20

Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name , emprunte les mêmes mécaniques de gameplay que ces prédécesseurs avec la boucle de gameplay suivante : Cinématique, Exploration, Bagarre, Monté de niveau, Cinématique…

Une boucle classique en soit et surtout parfaitement maîtrisé d’ordinaire par les développeurs de la saga, mais pas cette fois… Les cinématiques très réussies sont malheureusement parfois trop longue et trop nombreuses. Les anciens opus parvenaient à bien maintenir l’équilibre avec une bonne dose d’action, drama humour. Ici l’équilibre est un peu moins maîtrisé. Bref sans être déplaisant j’ai parfois ressenti quelques lourdeurs à ce niveau.

L’exploration, rien à dire, l’univers de Yakuza foisonne d’activité et prend le parti pris du mini open world bien rempli ! On a bien quelques quêtes annexes random et quelques mini jeux passables mais c’est fun et on ne s’ennui jamais. Le seul problème vient des rencontres trop fréquentes qui finissent pas lasser.

La bagarre ahahaha ! Ces séquences sont parfaitement exécutées avec un système de monté en compétence classique mais efficace. C’est fun et on prend un grand plaisir sur les finish moves qui semblent ceci dit moins nombreux qu’avant !?! A noté l’ajout d’un nouveau style de combat avec l’arrivé du lasso.

Un scénario toujours aussi bon – 17/20

Après les évènement de Yakuza 6 et pour protéger sa famille Kiryu décide de faire passer pour mort suite à ses blessures reçues lors du combat final du précédent opus. Il mène alors une vie paisible et cloitré dans les mur d’un clan de Yakusa. Pour gagner sa croute il est alors envoyé en mission d’escorte. Lors de cette mission Kiryu se retrouve dévoilé et mis à nu : le Dragon Dojima n’est pas mort…

Pour la suite je vous laisse découvrir mais comme à son habitude ce Yakuza ne fait pas exception à la règle : Drama, Honneur, Gloire et beauté… Bref c’est très bien écrit, très immersif avec ce qu’il faut d’humour pour éviter de sombrer dans le patos… Bref du très très bon.

Une durée de vie honorable, mais… – 15/20

La saga des yakuza nous à habitué à des aventure tenant sur une bonne trentaine d’heure. Ici le jeu tient à peine sur une vingtaine d’heures en tirant sur la corde avec des combats bien trop nombreux. Mais le jeu aurait du être plus court.

Ambiance sonore de folie – 17/20

Japonais, sous titré Français, je dit un grand oui ! Les doublage sont parfait et collent à la mise à scène. Les bruitages des impacts lors des combat sont excellents ! La musique accompagne parfaitement l’action et les évènements ! Enfin l’ambiance urbaine est parfaitement retranscrite. Bref c’est impeccable.

Conclusion sur Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name – 16/20

Certainement pas le meilleur opus de la saga, ce Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name nous offre une espèce de compilation ce que nous avons eu sur PS4 en répétant une formule parfaitement éculée mais diablement efficace. Le jeu est bon clairement. Mais il s’en dégage un air de déjà vu. Que ça soit visuellement, en terme de gameplay, de narration et d’action. On pourrait même dire que le jeu est plus court que les précédents opus et nous offre globalement moins de contenu au niveau des finish move et de la trame principale qui est artificiellement rallongée par des combats bien trop nombreux. Alors non ça n’est pas Yakuza 7 mais plus un Yakuza 6.5 fort plaisant.

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